Enroulée contre ta peau, je sens tes reins collés contre mes hanches. Endormie, tu m'appelles, m'enveloppant de ta tendresse.
Je sens les frémissements papillons de ton souffle contre mon bras, ma peau se hérisse sous l'odeur familière de tes cheveux...
Douceur enveloppante de la nuit, qui nous revêt de sa couverture nocturne comme pour protéger notre osmose.
Sombre nuit que la nôtre,
Fourbe nuit qui s'échappe,
Tendre nuit qui t'a livrée
Lourde nuit qui t'a libérée
De mon étreinte passionnée
enmicorazon
un souffle de bonheur
Samedi 12 mars 2011 à 14:57
Commentaires
Par Je-tue-il le Samedi 12 mars 2011 à 22:23
Si seulement... Merci de ton tag =)
Par Jeudi 3 septembre 2015 à 17:00
le Je vous remercie pour l'information.
Par Lundi 7 septembre 2015 à 9:28
le Excellent article je vous soutient .
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